Description du Fonds
Fonds cédé en 2000 par la veuve de l’architecte-restaurateur, il regroupe 56 dossiers de projets et réalisations.
Période
Seconde moitié du XXe siècle
Volumétrie
5,13 mètres linéaires
Outils de recherche
Inventaire jusqu’au dossier pour l’ensemble du fonds et jusqu’à la pièce pour le dossier sur l’église Saint-Jacques, sur File Maker Pro.
Bibliographie

LIBOIS, Philippine, Inventaire électronique d’une série du fonds Nicolas Leclerc : l’église Saint-Jacques de Liège, conservé au Centre de Documentation et d’Archivage du Groupe d’Ateliers de Recherche asbl, Seraing, mémoire de bachelier-bibliothécaire-documentaliste, Seraing, 2008-2009.

PEL, Robert, « Nicolas Leclerc » dans Bulletin de l’Association des Architectes de Liège, n° 205, mars 1978, p. 1218.

SCHYNS, Marie-Chantal, « Nicolas Leclerc » dans COLMAN, Pierre, La restauration des monuments à Liège et dans sa province depuis 150 ans : Musée de l’Architecture, Liège du 21 février au 15 avril 1986, Bruxelles, Ministère de la Communauté française de Belgique. Direction des Arts et des Lettres. Administration du Patrimoine culturel, 1986, p. 169.

Leclerc Nicolas (1915-1978)

Diplômé architecte-technicien à l’École Saint-Luc de Liège en 1938, Nicolas Leclerc se spécialise dans la restauration. Prisonnier en Allemagne pendant toute la guerre, il revient à Liège et effectue son stage chez Camille Bourgault avec qui il restaure plusieurs églises liégeoises comme Sainte-Catherine, Saint-Paul ou Saint-Denis. Nicolas Leclerc poursuit une formation d’architecte restaurateur jusqu’en 1957, ce qui lui ouvrira les portes de chantiers dédiés à des bâtiments civils. Il est ainsi notamment reconnu pour la restauration de l’ancien Hôtel de Bocholtz (terminé par Robert Pel) ainsi que pour certains édifices situés en dehors de la ville comme l’église de Charneux ou le musée de Herstal. Nicolas Leclerc est également actif dans plusieurs organismes à vocation patrimoniale, son expertise en tant que spécialiste de l’histoire de l’architecture est ainsi sollicitée par la CRMS, le Vieux-Liège, le Conseil international des Monuments et des Sites…