http://punchdrunksoul.com/?wc-ajax=get_refreshed_fragments

http://smragan.com/2007/09/

GAR Group 12 Created with Sketch. C PP -L a b

Puters, Albert (1892-1967)

DESCRIPTION DU FONDS

Fonds cédé par Jean Englebert en 2014, contient des documents relatifs à ses travaux de recherche et à ses publications.

PÉRIODE COUVERTE

Première partie du XXe siècle.

VOLUMÉTRIE

10 mètres linéaires et quelques fardes de dessins d’architecture.

OUTILS DE RECHERCHE

Fonds non inventorié.

BIBLIOGRAPHIE

BLANJEAN, Donatienne, Les instituts de la faculté des sciences appliquées de l’Université de Liège au Val Benoît, architecture caractéristique des années 1930, mémoire de licence en histoire de l’art et archéologie, Université catholique de Louvain, 1990.

DUPLOUY, Mallorie, Albert Puters (1892-1967), mémoire de licence en histoire de l’art et archéologie, Université de Liège, 2007.

DUPLOUY, Mallorie, « Albert Puters (1892-1967) dans Art&fact, n° 29, 2010, p. 23-27.

HALKIN, Léon et HARSIN, Paul, Liber Memorialis. L’Université de Liège de 1867 à 1935. Notices biographiques, t. II, Liège, Rectorat de l’université, 1936, p. 606.

MOOR, Thomas, « Puters, Albert » dans VAN LOO, Anne (dir.), Dictionnaire de l’architecture en Belgique, Anvers, Fonds Mercator, 2003, p. 467-468.

PUTERS, Albert, Précisions sur l’architecture au Pays de Liège, Verviers, G. Leens, 1942

PUTERS, Albert, L’architecture privée dans la région verviétoise, Verviers, G. Leens, 1950- 1968 (6 volumes).

Lien externes

Diplômé ingénieur architecte à l’université de Gand, Albert Puters est nommé chargé de cours à l’université de Liège dès 1926 au sein de la faculté de sciences appliquées. Passionné par l’histoire de l’architecture dont il assure le cours, Puters entre en 1929 à la Commission du Musée de l’architecture de l’ancien Pays de Liège aux côtés de Paul Jaspar, Maurice Devignée et Paul Comblen. Loin de se cantonner à l’architecture locale ancienne, Puters développe une écriture moderne. Sa maison personnelle (boulevard Émile de Laveleye à Liège, 1931), tout comme l’Institut de chimie et de métallurgie de l’Université de Liège au Val Benoît (1930-1936), constituent des exemples significatifs de l’architecture rationnelle et fonctionnelle en région liégeoise. À la fin de sa vie, l’architecte se concentre sur l’archéologie et publie de nombreux ouvrages sur le sujet qu’il illustre de ses propres dessins.